Power, les 48 lois du Pouvoir, de Robert Greene

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Titre original : The 48 Laws of Power

Version papier : 464 pages

Temps de lecture estimé : 20 heures environ

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Extraits

“When you are trying to impress people with words, the more you say, the more common you appear, and the less in control. Even if you are saying something banal, it will seem original if you make it vague, open-ended, and sphinxlike. Powerful people impress and intimidate by saying less. The more you say, the more likely you are to say something foolish.” 
― Robert Greene, The 48 Laws of Power

“Appearing better than others is always dangerous, but most dangerous of all is to appear to have no faults or weaknesses. Envy creates silent enemies. It is smart to occasionally display defects, and admit to harmless vices, in order to deflect envy and appear more human and approachable. Only gods and the dead can seem perfect with impunity.” 
― Robert Greene, The 48 Laws of Power





'Le sentiment de n'avoir aucun pouvoir sur les gens et les événements est difficilement supportable : l'impuissance rend malheureux. Personne ne réclame moins de pouvoir, tout le monde en veut davantage.'

Si le Pouvoir avait ses Lois, quelles seraient-elles ?


C'est à cette question que se propose de répondre Robert Greene dans Les 48 Lois du Pouvoir, un best-seller vendu à + 2 millions d'exemplaires.

Véritable manuel de la manipulation, Les 48 Lois du Pouvoir analysent la quintessence de cette sagesse millénaire, tirée de la vie et des œuvres des plus illustres stratèges (Sun Zi, Clausewitz), hommes d' État (César, Louis XIV, Bismarck, Talleyrand), courtisans (Castiglione, Gracián), séducteurs (Ninon de Lenclos, Casanova) et escrocs de l'histoire.

Amoral, intelligent, impitoyable et captivant, cet ouvrage colossal condense 3000 ans d'histoire du pouvoir en 48 lois.

Mon sentiment, après avoir tourné la dernière page de ce précieux livre, c'est d'abord de l'admiration pour Robert Greene.

Quel travail herculéen pour condenser 3000 ans d'Histoire et arriver à mettre en musique tous ces puissants qui illustrent chacune des lois : Cléopâtre, César, Louis XIV, Napoléon, Bismarck, Casanova, Sun Zi, Clausewitz, ... 


Robert Greene relie d'un fil d'or tous ces puissants, pourtant d'époques et de lieux différents, et leur donne vie. Il décortique leur stratégie de pouvoir, leurs succès, leurs échecs, donne à voir comment le lecteur peut à son tour s'en inspirer et énonce les 48 Lois pour exceller dans les jeux de pouvoir.

Le livre est dense mais accessible, les exemples foisonnent, les citations également. A mi-chemin entre un travail d'historien et celui d'un psychologue, Robert Greene explore toutes les facettes de la nature humaine.



Quelles sont-elles ces lois ?


Ne donnez à vos ennemis aucune possibilité de négociation, aucun espoir, aucune marge de manoeuvre. Écrasez-les, c'est tout"

Il serait vain de vouloir résumer ses lois, mais on pourra retenir que le pouvoir repose selon Robert Greene sur notre capacité à nous maîtriser, à ne pas laisser paraître nos émotions, à rester fluide, insaisissable, imprévisible, à ne pas prendre parti. Il réside aussi dans notre capacité à exploiter les faiblesses de l'autre, donc à les repérer, à écouter, à courtiser.

Achetez ‘Les 48 Lois du Pouvoir'  de Robert Green :


Influence & Manipulations, de Robert Cialdini (Résumé du livre)

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Titre original : Influence: The Psychology of Persuasion

Version papier : 408 pages

Temps de lecture estimé : 10 heures environ

Achat du livre : cliquer ici

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Extraits

“A well-known principle of human behavior says that when we ask someone to do us a favor we will be more successful if we provide a reason. People simply like to have reasons for what they do.”
― Robert B. Cialdini, Influence: The Psychology of Persuasion

“There is a natural human tendency to dislike a person who brings us unpleasant information, even when that person did not cause the bad news. The simple association with it is enough to stimulate our dislike.”
― Robert B. Cialdini, Influence: The Psychology of Persuasion





Avec plus de 250 000 exemplaires vendus dans le monde, Influence & Manipulation s'est placé au premier rang des ouvrages publiés sur le thème de la manipulation. Le célèbre psychologue Robert Cialdini y explique pourquoi certaines personnes sont douées d'un remarquable don pour la persuasion et comment il est possible de les battre sur leur propre terrain. Ce document nous dévoile les six secrets psychologiques qui se cachent derrière notre dangereuse tendance à nous laisser influencer, ainsi que les moyens employés par les spécialistes de la persuasion pour les exploiter à notre insu. Il nous apprend a nous en défendre - en tournant ces secrets a notre avantage.

Très intéressante lecture que ce livre construit autour des six secrets de la manipulation que sont la réciprocité, l’engagement et la cohérence, la preuve sociale, la sympathie, l’autorité et la rareté.

Si vous maîtrisez ces six secrets vous avez le pouvoir remarquable d’influencer les gens qui vous entourent.

Je partage avec vous 15 Techniques de Persuasion et de Manipulation révélées par Robert Cialdini.

#1 La loi des clichés.

Nous adorons les raccourcis que sont les clichés car ils facilitent notre compréhension du monde qui nous entoure. Quand nous empruntons un raccourci, nous passons en pilote automatique et baissons la garde, c’est à ce moment que nous sommes le plus manipulable, car très vulnérable. Ex. de clichés : si le prix d’un bijou est élevé, je vais penser qu’il est de qualité, car dans mon esprit qualité = cher, sans forcément vérifier à chaque fois si cette équation se vérifie.

#2 La loi des contrastes.
 
Si je mets quelque chose de bon marché à côté de quelque chose de très cher, le premier objet m’apparaîtra encore moins cher que si je l’avais vu seul. Ainsi j’ai intérêt à d’abord vous faire acheter un costume (cher) pour ensuite vous faire acheter des accessoires. Après avoir acheté un costume à 1000 €, des accessoires à 10 € vous paraissent à un prix dérisoire.

#3 - La loi de la Réciprocité.
 
La règle de la réciprocité veut que l’on s’efforce de payer de retour les avantages reçus d’autrui. Cette règle est d’une telle force qu’elle est irrésistible : personne ne veut passer pour un ingrat. Et le poids d’une dette ne s’efface qu’après avoir été payée.

"Un service rendu doit être payé par un autre service, non par l’indifférence."

Ex. : Si j’aide une personne à accéder au pouvoir, je m’attends à ce qu’elle me renvoi l’ascenseur. Si je vous fais goûter un échantillon de produit en magasin, vous vous sentirez obligé de m’acheter mon produit.

#4 - La loi de la Concession Réciproque ou technique du rejet-retrait.

Cette règle se déduit de la précédente. Si je vous offre une concession, vous me paierez en retour par une concession. Ex. : Accepteriez-vous de vous investir pendant deux ans à visiter une maison de retraite chaque dimanche pendant deux heures ? Réponse : Non. Contre-demande : Accepteriez-vous de les accompagner une après-midi pour faire une visite d’un musée ? Réponse : Oui, pourquoi pas (Combien auraient dit oui sans qu’on leur fasse la première proposition ?).
"Il semble donc qu’un accord auquel on a abouti par de feintes concessions de l’adversaire peut-être tout à fait satisfaisant"

#5 - La loi de l’engagement.

"Dès que nous avons pris position pour une certaine attitude, nous nous trouvons soumis à des pressions intérieures et extérieures qui nous obligent à agir dans la ligne de notre position première : nous réagirons de façon à justifier nos décisions antérieures."

Le principe de l’engagement consiste à obliger quelqu’un à prendre position : nous détestons perdre la face et renoncer à nos idées.

"Si je peux vous pousser à un engagement quelconque (c’est à dire à prendre position,publiquement), j’aurai préparé le terrain et pourrai vous pousser à vous en tenir, avec une cohérence automatique et inconsidérée, à cet engagement"

#5-Bis La loi du “petit” engagement.

La loi du “petit” engagement veut que même l’engagement le plus modeste m’oblige à être cohérent. Ainsi un vendeur a intérêt à conclure avec vous une petite vente, même très modeste, pour s’assurer de votre retour dans son magasin. Par souci de cohérence, c’est chez lui que vous vous rendrez pour réaliser un achat du même ordre, mais de plus grande taille cette fois.

#6 - La loi de l’engagement par écrit.

L’engagement par écrit vous engage au motif de la règle de l’engagement N°5. Mais à cela s’ajoute la force de l’écrit : l’écrit a une puissance quasi magique. Nous nous sentons doublement impliqué quand nous écrivons ce que nous pensons. Ainsi des sociétés de vente à domicile, pour diminuer le taux d’utilisation de la garantie qui permet à leurs clients de se rétracter dans un délai de 7 jours, font remplir leur bon de commande par leur client eux-mêmes, en présence du vendeur. De cette façon, les clients se sentent engagés, puisque c’est eux qui ont écrit.

#7- La loi de l’engagement créatif.

L’engagement créatif, consiste à accorder un avantage à une personne afin de la presser à prendre une décision, et l’obliger à annoncer de façon publique son engagement. Puis de retirer l’avantage initial. Par souci de cohérence, la personne se sera créé toute une série de raisons qui expliquent son engagement bien que l’avantage initial ait disparu.

L’exemple typique est le vendeur de voitures qui vous propose une réduction de 10% sur l’achat d’une voiture. Vous cédez et vous engagez à l’acheter. Au moment de signer, coup de fil de son patron, air gêné du vendeur, la réduction de 10% n’est pas accordée. Le processus fait que vous vous êtes déjà imaginé au volant de cette voiture, que vous avez imaginé tout un tas de raison de l’acquérir et que la disparition de la remise ne vous y fait pas renoncer.

#8- La loi de la preuve sociale.

"L’un des moyens de déterminer ce qui est bien est de découvrir ce que d’autres personnes pensent être bien (...). Habituellement quand un grand nombre de gens fait quelque chose, c’est que c’est la meilleure chose à faire".

La règle de la preuve sociale consiste à dire qu’il existe un fort pouvoir d’imitation chez chacun d’entre nous - en particulier sur les gens dont nous estimons qu’ils nous ressemblent et dans un contexte où l’incertitude sur la conduite à tenir est forte :

"Comme quatre-vingt-quinze pour cent des gens sont par nature des imitateurs, et seulement cinq pour cent des innovateurs, les gens sont plus facilement persuadés par les actions de leur semblables que par tout autre argument que nous pouvons leur donner."
Ainsi on met dans les publicités des stars auxquelles s‘identifier, ou en politique, on valorise le comportement de quelques leaders pour initier un changement des foules.

#9- La loi de l’apparence physique.

Être beau rend puissant, car nous accordons plus d’importance aux gens que nous estimons beaux :

"Les recherches montrent que nous attribuons automatiquement aux individus aux physiques harmonieux des qualités telles que le talent, la bonté, l’honnêteté et l’intelligence. De plus nous faisons ce jugement sans nous rendre compte que l’apparence physique nous influence."

#10 - La loi de la Similarité.

Nous faisons plus confiance à ceux dont nous pensons qu’ils nous sont semblables :
"Nous aimons ce qui nous ressemble. (...) Par conséquent, ceux qui veulent qu’on les aime pour persuader plus facilement peuvent atteindre cet objectif en paraissant semblable à nous."
#11 - La loi des Compliments.

Nous sommes sans défense devant un compliment :
"Les commentaires positifs éveillent de la sympathie envers le flatteur, indépendamment de leur sincérité."
#12 - La loi de la coopération.

Une personne coopérant nous apparaît toujours plus sympathique. L’exemple typique est celui d’un interrogatoire avec deux policiers, l’un jouant le rôle du mauvais policier, qui exagère son agressivité à l‘égard de la personne interrogée, l’autre jouant le rôle du gentil policier, qui fait semblant de coopérer avec la personne interrogée : si tu me donnes des aveux, je calmerai mon collègue et j’essaierai de dire un mot en ta faveur au juge.

"Les professionnels de la persuasion s’efforcent sans cesse d’établir qu’ils travaillent avec nous à un but commun, qu’il faut s’entraider, en somme qu’ils font équipe avec nous"

#13 - La loi de l’association.

Nous associons volontiers à une personne les qualités de son entourage ou de son environnement. L’exemple le plus évident est celui d’un homme politique qui aimera s’entourer de personnalités du show business appréciées du public, afin que cette sympathie rejaillisse sur lui. Mais aussi celle du présentateur météo qu’on maudira s’il nous annonce du mauvais temps, jusqu’au messager de la Perse antique que l’on tuait à son arrivée s’il était porteur d’une mauvaise nouvelle :

"La nature de la nouvelle infecte le Messager"

#14 - La loi de l’autorité.

L’autorité permet de manipuler et les professionnels de la persuasion savent revêtir les habits de l’autorité pour arriver à leurs fins.

Parmi ces habits, on citera les titres qui confèrent un statut (Docteur, …), les vêtements (habit de policier, costume trois pièces, …), les accessoires (belle voiture, …)

#15 - La loi de la rareté.

La loi de la rareté veut que plus une chose est rare et plus elle devient désirable :

"Les occasions nous paraissent plus intéressantes lorsqu’elles sont exceptionnelles (...). En fait, nous semblons plus motivés par la crainte de perdre une chose que par la perspective d’en gagner une autre, de valeur égale."

La loi de la rareté est particulièrement efficace dans les contextes d’une liberté dont on avait l’habitude et que l’on vous supprime (Théorie de la réactance).

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Comment se Faire des Amis, de Dale Carnegie

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Titre original : How To Win Friends And Influence People

Version papier : 304 pages

Temps de lecture estimé : 8 heures environ

Achat du livre : cliquer ici

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Extraits

“It isn't what you have or who you are or where you are or what you are doing that makes you happy or unhappy. It is what you think about it.”
― Dale Carnegie, How to Win Friends and Influence People

“You can make more friends in two months by becoming interested in other people than you can in two years by trying to get other people interested in you.”
― Dale Carnegie, How to Win Friends and Influence People






"Comment se faire des amis " - traduction du livre anglais "How to win friends and influence people - est un petit livre par la taille et c'est pourtant un véritable best-seller de par le monde, vendu à 15 millions d'exemplaires depuis sa sortie en 1936.

Pourquoi un tel succès dans la durée ? Et en quoi sa lecture est-elle riche d'enseignements dans un contexte professionnel ? 

En introduction de son livre, son auteur, Dale Carnegie, explique ses motivations. S'il a écrit ce livre, c'est parce que :


"Les belles situations ne sont pas nécessairement confiées à ceux qui connaissent le mieux leur spécialité. Les hommes n'ayant que leur science technique abondent sur le marché. Mais celui qui possède la connaissance de son métier, plus le pouvoir d'influencer ses collaborateurs, s'élève vers le succès."


Car c'est bien cela dont il s'agit : un guide du savoir-être dans l'entreprise, et par extension, dans la vie en général.

Formateur dans le monde de l'entreprise - ses héritiers ont d'ailleurs bien su faire fructifier son héritage ;) - et ne trouvant pas d'ouvrage de référence répondant à ses attentes, il décide de s'atteler à la rédaction d'un livre qu'il définit comme un "livre d'actions": chacun des 30 principes présentés est appelé à être mis en œuvre aussitôt lu.

Les 30 principes découlent tous de la combinaison plus ou moins complexe de trois principes structurants et fondamentaux :
  • Complimenter honnêtement et sincèrement 
  • Ne pas critiquer, ne pas condamner 
  • Motiver souvent pour faire ce que l'on veut

 

Principe 1 : Complimentez honnêtement et sincèrement


Le désir qui nous anime tous, ce que nous réclamons inlassablement, c'est selon Dale Carnegie le "désir d'être important". Reconnaître l'importance d'une personne devient donc la clé des relations humaines.

Il ne s'agit pas ici de flatter mais juste de témoigner de façon sincère à autrui l'importance qu'il revêt à nos yeux. La reconnaissance, c'est montrer à l'autre qu'il existe.

Et Dale Carnegie de citer l'exemple de Charles Schwab :

"Rien ne tue d'avantage l'ambition d'une personne que les critiques de ses supérieurs. Je ne réprimande jamais personne. Je crois qu'il vaut mieux stimuler, donner aux êtres un idéal à atteindre. C'est pourquoi je suis toujours prêt à louer et je déteste gronder. Si je trouve une chose bien faite, j'approuve sincèrement et je prodigue des compliments." Voilà ce que faisait Schwab ! Or que faisons-nous habituellement ? Exactement le contraire. Quand une chose nous déplaît, nous crions et nous tempêtons ; mais, quand nous sommes satisfaits, nous ne disons mot. On voit toujours les qualités de loin et les défauts de près".

Principe 2 : Ne critiquez pas, ne condamnez pas".


"La critique est vaine parce qu'elle met l'individu sur la défensive et le pousse à se justifier" : "Le coupable blâme tout le monde sauf lui-même".

Pour l'illustrer, Dale Carnegie cite l'exemple de nombreux criminels, plus abominables les uns que les autres. Voici l'histoire de l'un d'eux : "Two-gun" Crowley.

"Two-gun Crowley, tandis que la fusillade faisait rage autour de lui, écrivait une lettre destinée à ceux qui trouveraient son cadavre. Le sang ruisselant de ses blessures faisait une trainée rouge sur le papier. Dans cette lettre il disait : "Sous ma veste bat un coeur las, mais bon, et qui ne ferait de mal à personne." Peu de temps avant ces événements, Crowley se trouvait à la campagne près de Long Island. Tout à coup un agent de police s'approcha de sa voiture arrêtée et dit : "Montrez moi votre permis." Sans articuler un mot, Crowley sortit son revolver et transperça le malheureux d'une grêle de balles. Puis il sauta de son siège, saisit l'arme du policier et tira encore une autre balle sur son corps inerte."

Si une personne si abominable s'estime "bonne", comment s'imaginer que notre critique porte sur ceux qui font notre quotidien ?

 

Principe 3 : Motivez souvent pour faire ce que vous voulez.


"Pourquoi toujours parler de ce que nous désirons ? Cela est vain et puéril, absurde. Naturellement, chacun s'intéresse à ce qu'il désire. Il s'y intéressera éternellement. Mais il sera le seul à y penser. Tous les autres sont semblables à lui sous ce rapport et ne se préoccupent que de leurs propres buts et aspirations. C'est pourquoi la seule façon d'influencer le voisin, c'est de lui parler de ce qu'il veut et de lui montrer comment l'obtenir."

On ne s'ennuie un seul instant quand on entre dans ce livre et j'ai trouvé sa lecture passionnante. Certes les exemples sont un peu surannés et typés années 30 (on nous parle d'Al Capone, d'Abraham Lincoln, d'Edison, ...) mais ils tendent à démontrer l'universalité du propos et lui donnent toute sa force.

Certains pourraient penser qu'il s'agit de méthodes de manipulation. Je pense qu'il serait plus juste de parler d'une utile description de la nature humaine et de précieuses observations des interactions sociales.

En résumé, une bonne entrée en matière pour qui veut influencer les autres, gagner leur sympathie, les rallier à leur point de vue et modifier durablement leur attitude sans irriter ni offenser.

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